mercredi 4 décembre 2013

La gestion du stress

http://www.nightlife.ca/2013/04/03/10-trucs-pour-survivre-la-fin-de-session-expliques-en-gifs

La fin de la session approche, la quantité de travaux et de devoirs augmentes, en plus, le temps des fêtes arrive à grand pas et pour la plupart d'entre nous, nous ne sommes pas originaire de Rimouski, donc l'excitation de retrouver nos familles et notre région augmente. Tous ces facteurs combinés font en sorte que notre niveau de stress augmente. La fin de la session peut être une période difficile lorsque nous ne possédons pas de bon moyen pour diminuer notre taux de stress. Malgré le fait que nous sommes des adultes, il est encore difficile de gérer notre anxiété dans une période de fin de session. Imaginons un peu le stress qu'un enfant peu vivre durant une période similaire à la notre. Il pourrait rapidement ce démotiver! Le programme «sac à dos» présenter en classe de prévention aide le jeune à gérer le stress que certaines situations peuvent engendrer. Il est donc essentiel pour un enseignant d'apprendre à ses élèves à gérer leur stress. Celui-ci peut donner aux élèves des astuces sur les moyens efficaces pour contrer l'anxiété. Selon moi, dans le cas d'une mauvaise gestion de son temps, il faut aller plus loin que de dire aux élèves de bien gérer leur stress,. Il faut que l'enseignant leur explique comment gérer leur temps et que s'ils ne le font pas, l'une des conséquences pourraient être le stress engendrer par cette situation. Bref, je crois qu'il est important de bien outiller les élèves dans la gestion de leur temps et de leur stress. 


Les intelligences multiples

http://www.soniafournier.com/intelligence/publication/index.php
Dans le cadre du cours de prévention et d'adaptation, nous avions à construire un site internet sur un programme et à le présenter devant la classe. Une des équipes avait décidé de présenter les intelligences multiples, un projet réaliser par Madame Sonia Fournier (pour plus d'information sur le sujet, le site de Madame Fournier est disponible plus bas). Il en existe huit, il y a l'intelligence intrapersonnel, l'intelligence logico-mathématique, l'intelligence naturaliste, l'intelligence spatial, l'intelligence linguistique, l'intelligence musicale, l'intelligence kinesthésique et l'intelligence interpersonnelle. Je trouve que ce sont des éléments très importants puisque chaque élève apprend de façon différente. L'un sera plus porté sur la musique et l'autre sur les mathématiques. Il faut prendre en compte chacune des particularités de chaque élève. C'est pour ça qu'en prenant en compte les différentes intelligences multiples de ses élèves, il est plus facile de faire un enseignement différencier. L'enseignement différencier, c'est de prendre en compte que chacun peux apprendre à son rythme et que ce n'est pas tous les élèves qui sont rendu à la même place dans ses apprentissages.
http://www.soniafournier.com/intelligence/publication/index.php

À mon avis, cela permettra aussi a plusieurs élèves de rester accrocher et motiver par rapport à ses études si on prend le temps d'enseigner comme l'élève peut apprendre. Il n'est pas question de lui enlevé de la matière, comme les mathématiques s'il n'a pas l'intelligence logico-mathématique, mais d'aborder cette matière sous un angle différent que l'élève pourra mieux intégrer.

Pour plus d'information sur les intelligences multiples : 

mardi 26 novembre 2013

L'évaluation des apprentissages

http://cegepsherbrooke.qc.ca/piea/index.php/articles/22-evaluation/218-62-representativite-de-levaluation-ou-validite-de-construit-des-instruments-devaluation


Au cours des années, l’évaluation des apprentissages sur le plan de la formation des jeunes, de la formation des adultes et pour la formation professionnelle a changé. Au départ, elle était basée sur les connaissances, ensuite, elle était basée sur l’atteinte des objectifs, pour finalement se baser sur les compétences de l’élève. Lors de l’entrevue avec Monsieur Roger Francoeur, il nous expliquait qu’au début de sa carrière, il évaluait les connaissances de ses élèves et continuait son enseignement, sans se soucier de ce que les élèves comprenaient et de ce qu’ils ne comprenaient pas. Avec l’expérience et la nouvelle politique d’évaluation des apprentissages qui a été publiée par le MELS, il s’est rendu compte que l’évaluation doit être un outil d’aide à l’apprentissage pour l’élève et non un outil pour le professeur. Je crois qu’il est important que l’évaluation soit un outil d’aide à l’apprentissage pour l’élève, car celui-ci peut cibler ses forces et ses faiblesses et ainsi travailler sur ses points faibles pour pallier ses difficultés et s’améliorer dans ses apprentissages. C’est en aidant l’élève dans ses forces et faiblesses et en les lui montrant qu’on lui permet d’avancer et de rester accroché à l’école, si on le laisse tomber lorsqu’il n’a pas compris une partie de la matière préalable à une autre partie, on ne fait que lui nuire. Par contre, il faut aussi que l’élève lui-même s’aide dans ses apprentissages, car malgré nos efforts, c’est l’élève qui a le dernier mot sur ce qu’il veut faire. Il faut donc s’assurer que celui-ci comprend l’importance qu’il a à jouer dans son apprentissage. 

lundi 25 novembre 2013

La déficience



Certains enfants doivent vivre quotidiennement avec une déficience. Que ce soit une déficience intellectuelle, physique ou une autre déficience, chacune d’entre elles a ses propres conséquences dans la vie quotidienne de la personne qui à la déficience et celle-ci doit s’adapter aux limites que lui impose sa déficience. Chez l’enfant, il peut particulièrement être difficile de s’adapter, car cela peut parfois entraver son développement. Par conséquent, il faut trouver des moyens pour que ces enfants puissent trouver des moyens d’adaptations dans la vie de tous les jours. De plus, chaque type de déficience à besoin d’adaptation spécifique propre à chacune. L’enfant ayant une déficience auditive à besoin de matériels lui permettant de mieux voir, un élève ayant une déficience auditive aura besoin d’un appareil, etc. Les besoins de chacun sont variés, car chaque élève peut être à un degré différent dans sa déficience. Il existe plusieurs ressources disponibles pour les parents, les professeurs et les élèves eux-mêmes pour les gens ayant une déficience. Ce peut être pratique, car malgré notre formation, il peut être parfois difficile de travailler avec les personnes avec une déficience. Outre le fait qu'ils ont une déficience, il faut aussi répondre à leur besoin du niveau scolaire, s'ils ont ou non des difficultés à l'école. 

mercredi 20 novembre 2013

L'hypersexualisation des jeunes

Dans le cadre du cours de Prévention et Adaptation, nous avons vu l'hypersexualisation. Elle est présente chez les jeunes et c'est une problématique actuelle dans la société. Ce sont les adolescentes qui sont le plus touchées. Les médias utilisent le corps des femmes pour vendre des produits quelconques comme des voitures, des parfums, sans liens réels avec la sexualité. Les filles vont aussi prendre leur vedette favorite comme modèle, elles vont s'habiller comme elles, même si leurs vêtements ne sont pas adaptés pour leur âge. Il faut donc apprendre aux jeunes à détecter ce genre d'annonce publicitaire et leur apprendre à s'en protéger. Je crois qu'un bon moyen serait de favoriser l'estime de soi des jeunes, en les aidant à construire leur estime et à croire en eux. Je crois aussi qu'il faut arrêter de les critiquer sur cette problématique, car ce n'est pas eux, mais la société qui leur impose cette image, il ne sont pas assez matures pour faire la distinction entre l'habillement, l'attitude ou le comportement qui sont corrects entre celui qui est une coche trop haut et qui est de caractère sexuel. Bien que ce sont les filles qui sont le plus ciblées dans les publicités, les garçons sont aussi victimes de la pression sociale qu'exercent les médias sociaux.

dimanche 17 novembre 2013

Conférence avec Monsieur Daniel Courtois



La conférence de Monsieur Courtois sur la relation entre les gens était très intéressante. Pour nous faire comprendre la relation entre deux personnes, il a comparé la relation à un crayon de plomb. Le crayon a deux côtés, un pointu et un doux. Le côté pointu représente la passion et les émotions dans une relation, alors que le côté doux représente le confort. Une relation ne peut pas se résumer qu'à l'un des deux côtés, car il n'y a pas d'équilibre et ça nuit à la relation. Pour obtenir un équilibre dans le rapport entre les personnes, il faut établir une écoute, une communication et une observation. Ce sont les fondements d'une relation. Par la suite, la confiance envers l'autre et le besoin de l'autre pourront se développer. Je trouve que c'est très important dans notre apprentissage de connaître les fondements d'une relation, car tout au long de notre carrière nous aurons à établir des contacts avec plusieurs types de gens et de différent groupe d'âge. Monsieur Courtois a aussi parlé du type de communication qu'il faut prioriser pour établir une vraie relation. Nous devons nous concentrer sur le « qu'est-ce que tu aimes et sur le qu'est-ce que tu n'aimes pas? », c'est ces questions qui vont nous permettre d'établir un lien. En effet, je trouve qu'il est beaucoup plus véridique sur les intentions de communication de la personne lorsqu'elle te demande ce que tu as aimé de ta fin de semaine que ce que j'ai fait. Dans le premier cas, elle s'intéresse vraiment à ce que j'aime et ainsi elle apprend à me connaître. 

mardi 12 novembre 2013

L'inclusion des jeunes en classe ordinaire

De plus en plus l'inclusion totale des jeunes ayant une déficience ou ayant une difficulté d'apprentissage dans une classe ordinaire soulève bien des points sensibles. Certains disent qu'il est mieux d'inclure les élèves HDAA dans les classes ordinaires, car cela leur permet d'avoir des contacts sociaux, d'apprendre à interagir avec les autres, à être plus autonomes. Cette inclusion leur permet aussi de prendre conscience de leur importance dans la société en tant qu'individu et cela les incitera à s'impliquer dans la société.  D'autres spécialistes vont dire que l'inclusion totale n'est pas réalisable, car les élèves HDAA ont des besoins particuliers ou parfois, leur situation les empêche de s'inclure correctement à la classe ordinaire. Comme pour un élève autiste qui ne supporte aucune stimulation sensorielle et que les élèves de sa classe font trop de bruit pour sa tolérance. Il faut aussi prendre en compte le point de vue de l'enseignant qui aurait par exemple vingt élèves dans sa classe, dont un élève avec un trouble d'attention avec de l'hyperactivité, un autre élève avec une déficience auditive et un élève avec un trouble de comportement sévère. Il pourrait être difficile pour l'enseignante de garder le calme de sa classe, si à chaque fois, elle doit recommencer son intervention avec l'élève ayant un trouble de comportement sévère. Je crois que l'inclusion est une bonne chose, mais qu'il faut des supports adéquats pour qu'on puisse en tirer tous les bénéfices possibles.


dimanche 10 novembre 2013

Les devoirs de l'enseignant

http://reussite-bac-examens.com/enseignants/reconnaitre-un-bon-enseignant/

Dans le cadre du cours Organisation de l'éducation au Québec, nous avons vu divers articles sur la loi de l'instruction publique. L'article 22 (pour consulter l'article 22 voir plus bas) porte sur les devoirs de l'enseignant. En lisant cet article de loi, je me suis rendu compte que beaucoup d'enseignants ne respectent pas cet article. J'ai remarqué que ce non-respect était plus présent au secondaire. 

Petite tranche de vie

Je me souviens dans le cours de « monde contemporain » que la professeure ne voulait pas prendre m'a clé USB sous prétexte qu'elle avait peur d'avoir des virus sur son ordinateur, pour prendre mon travail et que je ne pouvais pas imprimer, car ça ne fonctionnait pas c'est journée là. Dans la même semaine, je vois cette même professeure accepter la clé USB d'une autre élève. Je m'étais sentie rejetée par cette professeure. 

Ce que ça m'apporte

Cet article et l'expérience que j'ai vécue au secondaire me permettent de voir aujourd'hui qu'il est très important en tant qu'enseignant de faire attention à chacun des élèves sous notre responsabilité et de rester impartial même si nous avons quelques élèves que nous préférons. Je crois qu'il est inévitable que les professeurs aient des élèves préférés et il est important que ce favoritisme ne paraisse pas devant les autres élèves et que le ou les élèves favoris soient traités de la même façon que les autres. Car si ce favoritisme est visible, les autres élèves vont éprouver de la colère, de la tristesse ou de l'envie et probablement du rejet envers le chouchou. De plus, je crois qu'il est important de faire connaître le droit et les devoirs de chacun dans le système scolaire aux élèves. Pour que chacun sois conscient de l'importance qu'il a dans son éducation, mais aussi pour réclamer justice lorsqu'un de ses droits est bafoué.  

samedi 2 novembre 2013

Brancher la relation






Dans le cadre du cours de Prévention, adaptation et réussite scolaire, nous avions le livre « Brancher la relation » de Daniel Courtois à lire. Dans ce livre on retrouve plusieurs astuces pour bien communiquer avec le jeune, mais aussi des moyens pour travailler sur soi. La lecture de ce premier tome m'a permis de comprendre que le jeune a parfois des besoins autres que ce que l'on veut lui imposer et qu'il a le droit d'être entendu et qu'il faut tenir compte de ce qu'il pense et de ses sentiments. Il faut faire attention, car il ne faut pas non plus laisser à l'enfant trop de permissivité, car comme tout le monde, les enfants ont aussi des besoins essentiels comme dormir, se nourrir et se vêtir. Puisque je serais constamment en contact avec les jeunes, il m'est essentiel d'être diplomatique et juste dans mes décisions, c'est ce que la lecture m'a fait réaliser. Je sais aussi que le livre ne peut pas tout m'apprendre dans les relations entre les jeunes et les adultes et qu'une grande part de mon expérience se fera par la pratique, mais c'est une bonne base à avoir lorsqu'on se dirige dans un milieu avec les jeunes.


vendredi 1 novembre 2013

La cyberintimidation

Dans le cadre du cours d'Apprentissage et cognition en enseignement, nous avions à lire cinq articles de la revue Vie Pédagogique et à écrire ce que nous avions appris de ces articles. L'un des textes que j'ai choisis est « La cyberviolence… Où en sommes-nous? » de François Bisson. Cet article m'a particulièrement touchée et il m'a permis de voir que l'utilisation des technologies n'est pas toujours bénéfique pour les adolescents à l'époque actuelle. En effet, plusieurs d'entre eux utilisent les technologies pour harceler et intimider d'autres élèves et parfois, elle sert même à harceler d'autres enseignants. Un exemple tiré de l'article est Star Wars Kid, un jeune qui s'était filmé à son insu et la vidéo a fait le tour du web en très peu de temps. Il a du quitté son école, car il se faisait trop harcelé. Ce sont des actes graves qui causent beaucoup de dommages  collatéraux aux victimes de harcèlement. Je crois qu'il est d'ailleurs de notre devoir de les sensibilisé à la bonne utilisation de ces technologies, mais pas seulement en tant que future enseignante, mais aussi comme citoyenne, comme amie, comme future maman, bref dans la vie de tous les jours nous devons prévenir et lutter contre l'intimidation et la cyberintimidation lorsqu'il y a lieu. Je crois qu'il ne faut surtout pas laisser, même un seul acte de violence sans réaction.